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samedi 25 avril 2009

Comment rencontrer le Député ?

Notre Député Didier ROBERT rencontre les Avironnais.

Vous souhaitez vous entretenir avec lui : Contacter nous
sur ce site ou faite le 0262 38 33 16

Son dernier passage aux Avirons : Mercredi 29 Avril 2009 .

L’équipe d’OPINIONS reste à votre disposition

lundi 20 avril 2009

Etats généraux : "Touche pas nout' statuts"


A la demande du président de République, des Etats généraux seront organisés dans chaque département d’outre-mer pour ouvrir "un débat sans tabou" et aborder "tous les sujets qu’ils soient économiques, sociaux, culturels mais aussi identitaires ou encore institutionnels".

Sur ce dernier point, tout propos sur l’évolution du cadre institutionnel provoque très souvent des réactions irrationnelles voire épidermiques.

L’évolution différenciée de ce cadre serait considérée par certains comme une volonté de séparation avec la France. Or, l’appartenance de la Réunion à la France et à un ensemble plus vaste, l’Europe, est une donnée incontournable fortement ancrée. Cette appartenance offre une stabilité et des garanties fortes. Il est donc inconcevable d'envisager tout changement de statut pour La Réunion.

Notre équipe sera présente dans les 8 ateliers thématiques pour faire des propositions qui tirent la Réunion et les réunionnais vers le haut. Nous ne manquerons pas de vous tenir informé.

En attendant vous pouvez nous envoyer vos idées.

Eric FERRERE

mercredi 15 avril 2009

Un mystérieux corbeau dans la Mairie des Avirons !




CLICANOO.COM Publié le 13 avril 2009

Citoyen désabusé ou usurpateur d’identité ?

Citoyen Avironnais désabusé, le vrai, je le suis encore plus aujourd’hui. Je constate en effet que non seulement celui atteint du syndrome de Stockholm voulait à tout prix me débusquer pour faire plaisir à son mentor mais aussi qu’on m’a usurpé mon identité afin de régler des comptes au sein de l’équipe élue ! Quelle bassesse ! Que vous ne pouvez pas décliner votre réelle identité, je comprends. Mais delà vous signez “le citoyen désabusé” c’est petit et malhonnête. En effet, dans votre lettre, madame ou monsieur, vous critiquez amèrement Jacky Grondin en sa qualité d’opposant car lors des conseils municipaux, il “existe” tout simplement et ça dérange. Heureusement ! Car à quoi une opposition servirait-elle ? À faire la chaise vide (comme depuis ces dernières années) où s’intéresser à la vie de sa commune ? N’est-il pas là justement pour défendre les intérêts des citoyens ? N’oublions pas que dans notre commune, endormie depuis ces dernières années, “cochon l’a toujours volé sans la z’aile et personne y proteste”. Alors pour une fois que nous avons un opposant qui s’exprime tout naturellement contre (encore heureux !) laissez-le ! Qu’attendez-vous ? Qu’il se taise aux différents conseils municipaux ? Et vous appelez cela une opposition constructive ? Si depuis toutes ces années, les opposants et les élus majoritaires en place avaient tenu correctement leur rôle nous ne serions pas dans de telles aberrations aux Avirons : Nous ramons ! Je comprends mieux maintenant le mutisme et le point de vue d’une bonne majorité des élus lors de décisions ! C’est grave ! Serait-on sous tutelle administrative ? Que dire de la pratique de cette assemblée qui n’a pas droit à la parole ? Quel est votre rôle là-dedans ?

Le citoyen désabusé, le vrai

lundi 6 avril 2009

A propos de la crise mondiale


Une citation du 3ème Président des Etats-Unis d’Amérique il y a 207 ans

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que les banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation,
ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leur parents ont conquis »
Thomas Jefferson (1802)
Citation du jour
"On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur de l'obscurité; la vraie tragédie de la vie, c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière. "
PLATON

vendredi 3 avril 2009

Fiscalité, Emploi, Autonomie de la Commune : Le danger existe !

Le conseil municipal a proposé de ne pas augmenter les impôts en 2009.

Dans ce contexte de crise, notre groupe a bien sûre approuvé une telle décision, surtout que les bases fiscales sont, elles, en progression. Cependant nous avons attiré l’attention du conseil sur les conséquences de la suppression de la taxe professionnelle (TP) envisagée dés 2010 par le Gouvernement. Notre groupe s’interroge sur les modalités de compensation de cette perte de recette pour la Commune. Nous sommes d’autant plus inquiets qu’à partir de 2014 l’Octroi de mer doit être supprimé.

Ces taxes aux Avirons : Valeur 2009
Taxe professionnelle (TP) : 160 519 €
Octroi de Mer : 3 999 465 €
Total produit attendu : 4 152 984 €

Face à cela, il y a deux possibilités : L’État compense ou ne compense pas.
Dans ce dernier cas, c’est l’asphyxie financière de la Commune par manque de recettes. Pour 2009 ces taxes représentent déjà à elles seules 43% de la recette totale. Pour l’éviter, on augmente les impôts ou on réduit les dépenses.
Dans le contexte de vie chère que nous connaissons, toute nouvelle ponction dans les revenus de la population paraît très difficilement envisageable. Moins dépenser suppose moins d’investissements. Si l’État compense les pertes de ces recettes, cela signifie que son droit de regard sur la gestion de la Commune est accru et que cette dernière perd une certaine liberté d’action: la pérennisation des postes d’agents communaux non titulaires, les emplois aidés, les actions sociales… autant de secteurs sensibles dont la gestion sera aggravée.

Pour éviter cette asphyxie financière ou cette forme de « mise sous tutelle », il faut anticiper.

Conforme à notre ligne de conduite, notre groupe se dit prêt à apporter sa contribution pour rechercher dans l’intérêt de tous, les solutions les mieux adaptées.

Eric FERRERE, Colette CADERBY, Michel REMY

CLICANOO.COM | Publié le 20 janvier 2009

Avirons bouge ?

Je suis originaire des Avirons et j’y habite depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, je constate que la commue où je vis, où je paie des impôts, où j’ai investi rame à contre sens depuis bien deux décennies.

Je n’ai aucune ambition politique, ni ne cherche une petite place dorée au sein de l’équipe municipale. Je ne suis qu’un simple citoyen qui cherche à comprendre ce qu’est “une vie de qualité dans une ville de qualité”. Mais où se cache ce cadre de vie qu’on dit exceptionnel ?

Chaque jour, j’ai beau regardé autour de moi et je vois : des routes dégradées, non entretenues et rafistolées à coup de ciment, bravo les ingénieurs de la route ! un centre-ville bloqué par des embouteillages constants où se garer devient comme dans les grands centres urbains. À quand le parcmètre ? un chantier aux abords d’une école. Comment ces enseignants peuvent-ils travailler dans des conditions pareilles ? Aucune mesure ne semble être prise pour protéger l’apprentissage scolaire des enfants qui vont devenir de futurs électeurs.

Vous dîtes que… “nos réalisations privilégient le confort, la sécurité et le bien-être de tous nos concitoyens de tous âges…” Est-ce une réalité ? une fermeture précoce du lycée des Avirons pour cause d’insécurité. des aménagements de quartier dits publics mais qui au fond profitent avant tout aux intérêts de certains privés. une mairie, “maison de chaque citoyen”, peu acceuillante dans tous les sens du terme. Un service d’accueil au dos de la cuillère et particulièrement pour les natifs du pays. Serait-on atteint du syndrome de la goyage de France ?

Des lieux d’une propreté douteuse. Oh pardon ! Est-ce un nouveau design ? des lotissements qui fleurissent sur tout le territoire mais des infrastructures qui ne suivent pas. Quels sont alors vos attentes ? Donner un toit aux habitants ou augmenter le nombre d’habitants pour vous assurer un meilleur salaire ? un foncier de plus en plus cher inaccessible aux Avironnais. A qui profite la situation ? Alors où est-il ce cadre de vie de qualité ? Serait-il virtuel ? La majorité des Avironnais mise sur cette nouvelle équipe composée de nouvelles recrues prises dans l’opposition ! Cette rancœur du passé s’est-elle transformée ? en tout cas 61 % des électeurs croient encore au conte de fée. Ne les décevez pas !

Et vous l’opposition, faites-vous entendre votre voix ? Profitez de l’offre de Monsieur le Maire dans son magazine les Avirons pour occuper l’espace d’expression qui vous est offerte. C’est dans les critiques et la contradiction qu’on évolue. N’est-ce pas ? Votre motivation serait-elle tombée… En y réfléchissant notre commune est malheureusement gérer au jour le jour.

A la mairie des Avirons on bricole… quelques réalisations sont faites certes mais tardent à voir le jour car elles rencontrent toujours des problèmes de conception ou autres. Soyons sérieux surtout quand on utilise l’argent d’honnêtes citoyens faîtes preuve d’un minimum de professionnalisme envers vos électeurs .

Un citoyen désabusé


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Réponse d'Eric Ferrere au citoyen désabusé

«Bouge avironnais»

Votre article paru dans le JIR du 20 janvier 2009 intitulé «Avirons bouge» ne m’a pas laissé insensible, bien au contraire. Vous vous dites: «simple citoyen, sans ambition politique, ne recherchant pas de petite place dorée dans l’équipe municipale…».

Alors pourquoi rester dans l’anonymat? Qui ou que craignez-vous? Avez-vous pensé à cela?

Moi si! Merci infiniment de me donner l’occasion de m’exprimer sur la façon dont un citoyen avironnais en 2009 cherche à faire «bouger les Avirons».

Rassurez-vous, beaucoup de gens sont comme vous. Alors qu’est-ce qui pousse tous ces gens à adopter un tel comportement?
Nous savons tous, qu’intuitivement la peur joue un rôle déterminant dans la vie politique d'un pays ou d’une commune. Nous savons tous, qu'il est humiliant d'avoir peur et de se l'avouer. Trop souvent présente, elle nous détourne de nos vrais problèmes, nous empêche de reconnaître notre part de responsabilité dans notre condition, et de nouer les alliances indispensables à un changement véritable. Nous en minimisons systématiquement son influence, préférant nous réfugier derrière des explications plus rationnelles de nos comportements de citoyens.

Cette peur hélas, nous fige tous! Ors, l’épanouissement passe notamment par une volonté des citoyens de s’affranchir de cette peur. La «démocratie participative» en est un moyen. Mais cette peur est puissante, car nous la véhiculons dans nos consciences collectives depuis la colonisation de l’île à nos jours. Cela hélas ne nous aide pas.

Nous sommes sur «Une île à peur» nous dit Prospère Eve. Pour les premiers habitants de l’île, c’est la peur de l’isolement, du volcan et du cyclone. Puis vient la peur de l’esclave face à son maître, du colon face au propriétaire, la peur du largage de la mère patrie et de manière plus moderne, celle des employés communaux notamment ceux qui se trouvent dans une situation précaire face aux Maires. Attention! Ceux qui annoncent leurs retours en politique, ont été des maîtres dans l’instrumentalisation de cette peur. Ne pas confondre obéissance et popularité.

Chez vous, Monsieur le «citoyen désabusé», puisque c’est ainsi que vous vous identifiez, cette peur se manifeste par ce courrier anonyme dans la presse. Chez d’autres ils dirons: Nous lé mal placé! Nous n‘avons pas d’emploi ou nous avons justement un emploi ou encore, nous sommes trop pauvre ou trop riche, trop jeune ou trop vieux… pour «dire et agir en toute liberté».

Ne trouvez-vous pas que cela fait beaucoup de gens qui sont inhibés par cette peur? Le véritable changement passe avant tout par se changer soi-même. Signez votre prochain article et vous verrez le progrès considérable que vous accomplirez sur le plan de votre personnalité.

Votre analyse sur notre commune prendra alors une tout autre dimension. Commencer par vaincre sa peur pour aider les autres à vaincre la leur, c’est contribuer à cette vague qui permet à un moment tous ensemble de se surpasser pour réaliser ses rêves.

Bravo aux Américains d’avoir su dépasser leur peur. L’élection d’Obama est de tout point de vue une leçon pour le monde entier.

Eric FERRERE

jeudi 2 avril 2009

« Entre Férocité, Soumission et Construction, nous avons choisi »

Dans une commune, l’état de santé de la démocratie peut se mesurer à l’échelle du droit d’expression accordé par la majorité municipale à son opposition. Cette dernière en 2008 a fixé à un quart de page ce droit à notre groupe.
Un quart de page c’est 3 % du magazine municipal.

Comment s’exprimer sur les affaires de la commune
dans un espace aussi restreint ?

La solution, c’est de faire revenir « O P I N I O N S ». Pour ceux qui ont connu « OPINIONS », rappelons que sa vocation est de vous tenir informés, faire passer nos idées et se battre ensemble pour un idéal de vie ici aux Avirons. Cet espace d’expression, de dialogue est avant tout le vôtre.

Malgré tout notre groupe a décidé de rester constructif et d’avancer. Ce qui compte, c’est l’intérêt général des Avironnais (es). Les élections ont eu lieu. Quoi de plus normal que la majorité en place déploie son programme d’actions ? Il est clair que ce programme ne correspond en rien à notre vision de l’aménagement et du développement économique, social et culturel de notre commune.

A partir de là, nous pouvons bien sûr adopter une attitude d’opposition systématique, mais sincèrement, quel est l’intérêt ? De plus, dans ce contexte particulièrement difficile, les Avironnais ont besoin de se serrer les coudes pour faire face à la crise qui annonce des jours difficiles. Plus que jamais, le combat politique ne doit pas être un combat de personnes, mais celui d’idées.

Ainsi, nous avons voté pour la création d’une médiathèque, mais nous avons marqué notre désaccord sur sa localisation en plein centre ville, compte tenu des conditions de circulation actuelle. Si la proximité des écoles peut être un argument recevable, selon nous, la réussite de ce projet en centre ville passera avant tout par une réflexion et la mise en œuvre d’un plan de déplacement urbain.

Aujourd’hui nous rencontrons des problèmes pour entrer, sortir ou circuler en ville. Cette situation n’est pas propice au développement économique et culturel de la commune. Nous ne voulons plus d’une ville qui se paralyse jour après jour et qui décourage ses acteurs.

La commune des Avirons a beaucoup de ressources, de charmes et de qualités, elle a surtout un potentiel qui ne demande qu’à s’exprimer.



INF-O P I N I O N S


Voter est un droit, Voter est un devoir
Date des prochaines élections :

Elections européennes : Dimanche 7 juin 2009 / Durée du mandat : 5 ans
Elections régionales : Mars 2010 / Durée du mandat : 6 ans
Elections cantonales : Mars 2011 / Durée du mandat : 6 ans

"Tous Avironnais, tous Citoyen"


Michel Rémy

J’exprime ma profonde déception sur les conditions du développement de la citoyenneté aux Avirons. Habiter une commune, y payer des impôts ne suffit pas à faire de nous des citoyens si nous n’avons pas le droit d’expression et le droit d’être effectivement associés aux projets municipaux.
Hormis deux ou trois commissions obligatoirement ouvertes aux élus n’appartenant pas à la majorité municipale, nous sommes exclus des autres commissions et de la totalité des représentations auprès des autres organismes. ( CC Sud, syndicat mixte, collège, …) Il est alors facile de reprocher à l’opposition de ne pas avoir de bilan. Pourtant nous avons fait des propositions d’ouverture. Aux Avirons, je n’ai jamais entendu parler de commissions culturelle, sportive, scolaire, urbaine, agricole, environnementale, citoyenne…Nous avions le projet de créer un conseil municipal de jeunes, car pour nous, les impliquer dans les affaires de notre commune, c’est les initier très tôt à la citoyenneté et c’est aussi préparer la relève de demain.
Dans notre commune, la citoyenneté semble limitée au strict droit de vote aux élections.

Notre groupe pense que le développement de la commune passe par une plus grande participation de ses habitants. Chacun d’entre nous doit pouvoir agir sur l’espace public et contribuer au progrès de notre cité. Les décisions qui nous concernent doivent être le résultat du travail de tous et non de quelques-uns.

Aux Avirons, nous sommes loin, très loin du concept de démocratie participative pourtant reconnue fondement des sociétés modernes.

Il est urgent d’impulser à la mairie un nouveau mode de gouvernance qui favorise le rassemblement et l’ouverture et permette une plus grande valorisation de nos potentialités au profit de tous les citoyens. L’objectif est de créer les conditions d’un dialogue et d’une expression démocratique ouverte à tous.

"Ne pas avoir peur du changement"




Colette Caderby

Ancienne employée communale, maintenant conseillère municipale, je vous invite à rejoindre « OPINIONS » pour que nous vivions ensemble dés à présent le changement.
"Mener un combat politique pour une cause juste
est une expérience formidable."

En mars 2008 j’ai été élue conseillère municipale sur la liste d’Eric FERRERE. Maintenant je comprends la difficulté de faire passer ses idées quand on n’appartient pas au groupe majoritaire. Je mesure mieux aussi le courage qu’il a fallu à Eric pour rester lui-même durant ces années. Je reste convaincue que ses idées, sa conception de la politique, sa vision de l’aménagement et du développement finiront par triompher.

Partout, aujourd’hui, on parle de politique participative. Or, souvenez-vous du mouvement qu’il avait créé aux Avirons en 1995 appelé : « Participer et Agir ». Il était le seul, à l’époque, à parler de démocratie participative. Du reste, nombreux sont les conseillers municipaux issus de ce mouvement qui, aujourd’hui, siègent en conseil. Rendons nous à l’évidence : Notre Commune a besoin d’un projet de fond qui fixe un nouveau cap :

« Atteindre l’équilibre entre la réalisation d’équipements structurants et un véritable développement humain ».

Ce n’est qu’avec votre soutien, votre courage, votre ténacité et votre engagement que nous pourrons préparer ensemble un meilleur avenir aux Avirons. « O P I N I O N S » est resté gravé dans la mémoire des Avironnais. Plus que jamais, nous avons besoin de cet outil pour communiquer avec vous. Il est là pour nous accompagner dans notre volonté de progresser.

Je peux vous dire maintenant qu’il ne faut pas avoir peur du changement.